Accéder au contenu principal

Ligue 1 : les arbitres pourront s'appuyer sur la vidéo la saison prochaine

Utilisée lors de la Coupe du monde 2014, la technologie sur la ligne de but est déjà en vigueur en Angleterre et sera utilisée en Allemagne et en Italie.

La technologie sur la ligne de but entrera en vigueur en début de saison prochaine en Ligue 1, a annoncé jeudi Frédéric Thiriez, président de la Ligue de football professionnel (LFP). "C'est une décision unanime de notre conseil d'administration", a déclaré Frédéric Thiriez, après l'adoption de cette technologie qui permet de déterminer si un ballon a franchi (ou non) la ligne de but. "Il faut désormais établir un cahier des charges, consulter les deux principaux opérateurs, l'anglais Hawkeye et l'allemand Goalcontrol. Cela sera entièrement financé et supervisé par la Ligue", a précisé M. Thiriez à la sortie du CA de la Ligue, soulignant que les prix avaient subi une baisse considérable.
Utilisée lors de la Coupe du monde 2014 au Brésil, la technologie sur la ligne de but est déjà en vigueur en Angleterre et entrera en service en Allemagne et en Italie en début de saison prochaine. Elle sera également utilisée lors du Mondial féminin, en juin, au Canada. Aucune décision n'a pour l'instant été prise pour le Championnat d'Espagne.

En savoir plus : http://www.lepoint.fr/sport/football/ligue-1-les-arbitres-pourront-s-appuyer-sur-la-video-la-saison-prochaine-16-04-2015-1922104_1858.php

Commentaires

Posts les plus consultés de ce blog

" C'est moi qui est ": ne faites plus la faute !

«C'est moi qui est» : ne faites plus la faute ! Par   Alice Develey     Publié  le 12/09/2017 à 06:00 18  commentaires  Partager sur Facebook (nouvelle fenêtre) Partager sur Twitter (nouvelle fenêtre) Partager sur Google + (nouvelle fenêtre) Partager sur Linkedin (nouvelle fenêtre) Partager sur Viadeo (nouvelle fenêtre) Envoyer par mail Imprimer cet article (ouvre la fenêtre d'impression) ORTHOGRAPHE - « C'est moi qui est » ou « c'est moi qui suis » ? Les locutions font florès dans nos phrases au quotidien. L'une des deux est pourtant incorrecte. Laquelle ?  Le Figaro  revient sur leur bon usage. «C'est moi qui fait la vaisselle aujourd'hui» ou «c'est moi qui fais la vaisselle aujourd'hui»? L'erreur est subtile à l'écrit et bien fâcheuse à l'oral. Écoutez plutôt: «c'est moi qui a raison», «c'est moi qui ai raison». Si les deux phrases s'emploient couramment, l'une des deux demeure pourtant fauss

Cannes, ville du festival du ciné, d'où vient ton nom?

Cannes d'où vient ton nom? Par  Alice Develey Mis à jour  le 24/05/2017 à 09:14   Publié  le 24/05/2017 à 06:00 0 Facebook Twitter Google + Linkedin E-mail Imprimer Remonter au début de l'article ORIGINE DES NOMS DES VILLES  - La rédaction du  Figaro  vous propose de redécouvrir chaque semaine l'origine du nom des métropoles françaises. Aujourd'hui, il est question de la perle des palaces, bien nommée Cannes. Quels grands noms ses artères mondaines et ses plages de sable ne virent-elles pas passer? Gérard Philippe, le grand interprète de Julien Sorel dans  Le Rouge et le Noir , Claude Bolling, le compositeur du  Magnifique  ou encore Jean Ricardou, célèbre écrivain et théoricien du Nouveau Roman. Le lieu de villégiature hivernale et princiale abrita les plus grands artistes de ces derniers siècles, tels Chateaubriand, Stendhal, Victor Hugo, Renoir et Jean-Gabriel Domergue. Le grand Pablo Picasso, lui-même, y trouva son havre de paix

«C'est de cela dont il s'agit» : ne faites plus la faute !

ORTHOGRAPHE  - « C'est de cela dont il s'agit » ou « C'est de cela qu'il s'agit » ? Le pronom relatif fait florès au quotidien. Mais est-il vraiment toujours correct de l'employer ?  Le Figaro  revient sur son bon usage. Voilà un «don» dont on pourrait bien se passer. «C'est de ça dont il est question», «C'est une problématique dont il ne faut sous-estimer son importance», «Car c'est bien de cela dont parle» écrivait encore le 29 mars dernier  Mediapart . Le pronom relatif est partout. À l'oral comme à l'écrit, ce dont provoque pourtant nombre d'erreurs. Que faire pour les éviter? Souvenons-nous tout d'abord de son étymologie. Du latin populaire  unde  «d'où», le terme «dont» est né à la fin du IXe siècle et sous-entendait dès sa création l'existence de la préposition «de». En réalité nous précisent le Petit Robert et le  CNRTL , «dont» est l'équivalent de «de qui, duquel, de laquelle, desquels, desquelles». T