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Affichage des articles du septembre, 2017

Saurez-vous déjouer les pièges de la langue française?

« Le Monde Campus » a sélectionné une dizaine de règles ou d’exceptions sournoises de la langue de Molière. En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/campus/article/2017/08/02/quiz-saurez-vous-dejouer-les-pieges-de-la-langue-francaise_5167820_4401467.html#3Ix7JDbDtw0Y7yjr.99 http://www.lemonde.fr/campus/article/2017/08/02/quiz-saurez-vous-dejouer-les-pieges-de-la-langue-francaise_5167820_4401467.html

Architecture : sur le chemin des bâtisseuses

Architecture : sur le chemin des bâtisseuses La 3e édition des Journées du matrimoine, du 15 au 17 septembre, propose des parcours féministes et des visites de lieux construits par des femmes architectes. LE MONDE  |   15.09.2017 à 08h39  • Mis à jour le  15.09.2017 à 10h39  |  Par   Clarisse Fabre Abonnez vous  à partir de 1 €  Réagir  Ajouter Partager  (21) Tweeter image: http://img.lemde.fr/2017/09/14/0/190.5/6706/4471/534/0/60/0/49aacea_11611-gb8foa.5q2i0ms4i.jpg Le mot surprend encore : qu’est-ce que le « matrimoine » ? La réponse est simple : si le patrimoine représente l’héritage ­culturel des « pères », le matrimoine représente celui des « mères ». Pour le rendre plus visible, le collectif HF, qui repère depuis 2009 les inégalités hommes-femmes (HF) dans les arts et la culture, avait lancé, il y a deux ans, les Journées du matrimoine, en même temps que les Journées du patrimoine (organisées, elles, depuis 1984). Il ne s’agit pas de remiser Victor Hugo (1802

" C'est moi qui est ": ne faites plus la faute !

«C'est moi qui est» : ne faites plus la faute ! Par   Alice Develey     Publié  le 12/09/2017 à 06:00 18  commentaires  Partager sur Facebook (nouvelle fenêtre) Partager sur Twitter (nouvelle fenêtre) Partager sur Google + (nouvelle fenêtre) Partager sur Linkedin (nouvelle fenêtre) Partager sur Viadeo (nouvelle fenêtre) Envoyer par mail Imprimer cet article (ouvre la fenêtre d'impression) ORTHOGRAPHE - « C'est moi qui est » ou « c'est moi qui suis » ? Les locutions font florès dans nos phrases au quotidien. L'une des deux est pourtant incorrecte. Laquelle ?  Le Figaro  revient sur leur bon usage. «C'est moi qui fait la vaisselle aujourd'hui» ou «c'est moi qui fais la vaisselle aujourd'hui»? L'erreur est subtile à l'écrit et bien fâcheuse à l'oral. Écoutez plutôt: «c'est moi qui a raison», «c'est moi qui ai raison». Si les deux phrases s'emploient couramment, l'une des deux demeure pourtant fauss

« Apprentis » contre « brillants » : l’enseignement professionnel toujours victime de préjugés

« Apprentis » contre « brillants » : l’enseignement professionnel toujours victime de préjugés L’enseignement professionnel, dont l’apprentissage, se veut être la solution miracle au chômage des jeunes. Pourtant ces formations peinent à se défaire de leurs images négatives. LE MONDE | 05.09.2017 à 11h39 • Mis à jour le 05.09.2017 à 12h05 | Par Audrey Travère Partager (799)Tweeter image: http://img.lemde.fr/2017/09/05/0/0/5184/3456/534/0/60/0/002f833_2447-r1x65e.lnbdjqncdi.jpg C’était une question pourtant anodine. Mercredi 30 août, au micro de France Inter, Léa Salamé interroge Antoine Frérot, président-directeur général de Veolia, venu parler de l’apprentissage : Léa Salamé : « Est-ce que vous avez poussé l’un de vos enfants à être apprenti ? » Antoine Frérot : « Non je ne l’ai pas fait car ils étaient brillants à l’école. L’un voulait être médecin. Peut-être ma dernière le sera, mais en études supérieures. Le problème ne s’est pas posé. » Quelques heures plus tard, l’homme d’a